Paul NIZON

 

Né à Berne en 1929, son père est chimiste et inventeur, émigré de Russie et sa mère helvétique.

Il étudie l’histoire de l’art, soutient une thèse sur Van Gogh et devient, durant trois ans, assistant au musée historique de Berne.

En 1959, Paul Nizon publie Les Lieux mouvants  puis passe une année à Rome à l’Institut suisse. De retour en Suisse, il exercera à Zurich le métier de critique d’art indépendant jusqu’en 1972.

Après un séjour en Extrême-Orient et en Amérique, Paul Nizon s’installe à Paris en 1977. En France, la parution de L’Année de l’amour entraîne la traduction de l’essentiel de son œuvre.

 

Choix bibliographique

  • Stolz
  • L'Année de l'amour
  • L'Œil du coursier
  • L'Envers du manteau
  • Chien : confession à midi
  • Figurants fugitifs
  • Les Premières Éditions des sentiments, journal 1961-1972 (prix André Gide)
  • Adieu à l'Europe
  • Maria Maria (avec Colette Fellous)
  • La Fourrure de la truite
  • La morue Daphnée
  • La mononucléose
  • L'œil du coursier
  • Les notes du coursier
  • Faux papiers. Journal 2000-2010

 

Participation à la revue

  • N° 17, Dossier Paul Nizon : Entretien
  • N° 17, Dossier Paul Nizon : Le Livret de l'amour, Journal 1973-1979